Paroles d'anciens
Dylan Venet : "Je dormais en philo"
Dylan Venet a commencé le tennis à table à Souzy en 2008 en participant au championnat Rigolo's Jeunes. Puis a débuté en championnat adultes en 2009. Il remonte pour nous le temps en évoquant ses souvenirs, anecdotes ...
Quel est ton premier souvenir dans le club ?
Mon premier souvenir est tout simplement mon premier jour au club. Dans la file d'attente pour s'inscrire, je tombais sur Baptiste Delenne. Sans se concerter, alors qu'on était amis et qu'on se côtoyait tous les jours à l'école, on s'était inscrit au même moment. Et maintenant, il faut l'appeler "Monsieur le coprésident" (rires) !
Mon premier souvenir est tout simplement mon premier jour au club. Dans la file d'attente pour s'inscrire, je tombais sur Baptiste Delenne. Sans se concerter, alors qu'on était amis et qu'on se côtoyait tous les jours à l'école, on s'était inscrit au même moment. Et maintenant, il faut l'appeler "Monsieur le coprésident" (rires) !
Quel est ton meilleur souvenir dans le club ?
Je n'en ai pas en particulier côté sportif, je retiens surtout la convivialité qui régnait au sein du club. On était là pour passer un bon moment, s'amuser, se marrer. On a passé de sacrés troisièmes mi-temps. Le jeudi soir, après l'entraînement, on quittait parfois la salle très tard dans la soirée. Si on dépassait le record de l'heure la plus tardive, on notait au tableau les personnes qui étaient présentes ce jour-là. Dans le lot, il y avait souvent Rémy Marquet, Pascal Guilliem, Pascal Bruyas, Johann Chairiew, mon père Franck Venet. Une belle brochette. Autant vous dire que je dormais le lendemain matin en philo !
Je n'en ai pas en particulier côté sportif, je retiens surtout la convivialité qui régnait au sein du club. On était là pour passer un bon moment, s'amuser, se marrer. On a passé de sacrés troisièmes mi-temps. Le jeudi soir, après l'entraînement, on quittait parfois la salle très tard dans la soirée. Si on dépassait le record de l'heure la plus tardive, on notait au tableau les personnes qui étaient présentes ce jour-là. Dans le lot, il y avait souvent Rémy Marquet, Pascal Guilliem, Pascal Bruyas, Johann Chairiew, mon père Franck Venet. Une belle brochette. Autant vous dire que je dormais le lendemain matin en philo !
Quel est ton point fort selon toi et ton point faible ?
Mon point fort est mon démarrage coup droit / revers. Mon point faible, je peux me relâcher pendant un match, avoir des gros "trous d'air".
Mon point fort est mon démarrage coup droit / revers. Mon point faible, je peux me relâcher pendant un match, avoir des gros "trous d'air".
Quelle est ta bête noire ?
Ma bête noire est sans hésiter Thibault Berchoud. J'ai dû le rencontrer deux, trois fois, je n'ai jamais gagné contre lui. Pendant la finale du tableau "Toutes Séries" en 2023, j'ai beau avoir 4 balles de match, il m'a quand même battu.
Ma bête noire est sans hésiter Thibault Berchoud. J'ai dû le rencontrer deux, trois fois, je n'ai jamais gagné contre lui. Pendant la finale du tableau "Toutes Séries" en 2023, j'ai beau avoir 4 balles de match, il m'a quand même battu.
Quel est le coéquipier le plus fort avec lequel tu as joué ?
Le coéquipier le plus fort avec lequel j'ai joué est Fabien Rollin. Quand je suis arrivé au club, il était l'un des meilleurs joueurs, si ce n'est le meilleur de Souzy. Il était impressionnant à voir jouer, il dégageait une certaine puissance à la table.
Le coéquipier le plus fort avec lequel j'ai joué est Fabien Rollin. Quand je suis arrivé au club, il était l'un des meilleurs joueurs, si ce n'est le meilleur de Souzy. Il était impressionnant à voir jouer, il dégageait une certaine puissance à la table.
Quel est le coéquipier le plus "fou" avec lequel tu as joué ?
Le coéquipier le plus "fou" avec lequel j'ai joué est Christophe Sautour. Je ne l'ai jamais compris (rires). Il était capable de très bien jouer mais aussi de passer complètement au travers et de faire de drôles de contre-perfs. Du "Tof" tout craché. Je tiens à souligner qu'il m'a aidé à progresser quand j'étais jeune : on venait une heure avant l'entraînement du samedi matin, en petit comité, pour faire des exercices.
Le coéquipier le plus "fou" avec lequel j'ai joué est Christophe Sautour. Je ne l'ai jamais compris (rires). Il était capable de très bien jouer mais aussi de passer complètement au travers et de faire de drôles de contre-perfs. Du "Tof" tout craché. Je tiens à souligner qu'il m'a aidé à progresser quand j'étais jeune : on venait une heure avant l'entraînement du samedi matin, en petit comité, pour faire des exercices.
Quel a été ton meilleur coéquipier de double ?
Je me souviens d'une sacrée saison avec Sébastien Colombin, on avait battu Patrick Castano, classé 17, et l'un de ses coéquipiers. J'adorais également jouer avec Damien Ligout, comme je n'étais pas spécialement bon en double. Avec son jeu atypique de défense et son picot, j'avais l'impression de jouer seul à la table et je voyais la balle revenir toute seule quand il la renvoyait.
Je me souviens d'une sacrée saison avec Sébastien Colombin, on avait battu Patrick Castano, classé 17, et l'un de ses coéquipiers. J'adorais également jouer avec Damien Ligout, comme je n'étais pas spécialement bon en double. Avec son jeu atypique de défense et son picot, j'avais l'impression de jouer seul à la table et je voyais la balle revenir toute seule quand il la renvoyait.
Quelle est ta victoire la plus marquante ?
Ma victoire la plus marquante est au moment de la 1ère journée de la Phase 2 pendant la saison 2009/2010. On jouait face à Bron en Départementale 2. Avant cette journée, j'avais gagné seulement un match en compétition. La rencontre était très serrée et je devais jouer le dernier match face à un 9 expérimenté, qui avait 4 classements au-dessus de moi, pour tenter d'arracher le nul. J'étais parvenu à l'emporter à la belle et ne pas concéder la défaite pour l'équipe. Cette victoire a été le déclencheur pour moi.
Ma victoire la plus marquante est au moment de la 1ère journée de la Phase 2 pendant la saison 2009/2010. On jouait face à Bron en Départementale 2. Avant cette journée, j'avais gagné seulement un match en compétition. La rencontre était très serrée et je devais jouer le dernier match face à un 9 expérimenté, qui avait 4 classements au-dessus de moi, pour tenter d'arracher le nul. J'étais parvenu à l'emporter à la belle et ne pas concéder la défaite pour l'équipe. Cette victoire a été le déclencheur pour moi.
Quelle est ta défaite la plus marquante ?
La finale du tableau "Toutes Séries" en 2023 face à Thibault Berchoud, où j'avais 4 balles de match. Sinon une finale de Top 12 à St Forgeux, où je menais facilement et je me suis effondré. Mais les défaites, je les oublie vite, je retiens surtout le positif.
La finale du tableau "Toutes Séries" en 2023 face à Thibault Berchoud, où j'avais 4 balles de match. Sinon une finale de Top 12 à St Forgeux, où je menais facilement et je me suis effondré. Mais les défaites, je les oublie vite, je retiens surtout le positif.
Quel est ton souvenir le plus marquant en tournoi ?
Un tournoi à Bains les Bains. J'étais dans une forme euphorique, j'avais battu deux 15 en poule, j'avais perdu à la belle au bout du suspens face à un 19 et j'avais gagné le tableau 13.
Un tournoi à Bains les Bains. J'étais dans une forme euphorique, j'avais battu deux 15 en poule, j'avais perdu à la belle au bout du suspens face à un 19 et j'avais gagné le tableau 13.